random questions to get to know you
films préférés - se ramasser cette question d'entrée de jeu quand t'es pas cinéphile c'est humiliant tbh - mais j'aime bien les christopher nolan, surtout le prestige. Séries préférées - les seules auxquelles je suis fidèle sont friends et sex and the city. Livres préférés - mes immuables sont as i lay dying de faulkner et tess of the d'urbervilles de hardy, mais à côté de ça j'adule all things southern gothic, les contes en général, ainsi que tout ce que touchent angela carter, neil gaiman et corneille. Groupes/chanteurs préférés - banks, drake, arctic monkeys, dermot kennedy, lucio bukowski, johnny cash, marian hill, veence hanao, louis armstrong, çapartdanstouslessens.mp3 Loisirs - lire, les concerts et festivals, les langues étrangères, avoir raison débattre. Signe astrologique - scorpion. beware motherfuckers. Maison Poudlard - serdaigle. MBTI - entp, l'innovateur. Autre - real life footage de moi, dès fin décembre, dans vos boîtes mp.

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chinese identification - not the astrologic sign though
Un animal - un cerf. Une fleur - euh... une fausse ? (à l'arrière-plan, poppy is ashamed) Une couleur - hahahahahahahahahahanoir. Un objet -  mon édition enluminée des voyages de gulliver trouvée en brocante, dédicacée "une très joyeuse année 1914 à mon cher jean-jacques. tendres pensées, tata chifou". tata chifou, comment te l'annoncer.... Une chanson - gun to my head : an evening i will not forget de dermot kennedy, la version avec le mashup de drake. Un lieu - le palacio de cristal de madrid. Un élément - l'air. Un bruit - des ongles longs qui cliquent sur un bureau. Un défaut - l'arrogance af. Une qualité - la logique.

Rp en : il/elle • Nombre de lignes : trop ? entre 400 et 1200 mots • Langue des rp: fr/en

listing des personnages

[penelope bloom]
24 • doctorante • célibataire • warm fireplace • laurel thoma

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[moodboard] Poppy, c'est le bon parti que toutes les grands-mères de la ville s'arrachent ; have you met my grandson, honey? You'd look gorgeous together. Pedigree impeccable, carrière académique brillante, posture droite, manières et diction : sans réserve, ta granny approuve. Surtout, Bloom comme Bloominburg, l'arbre généalogique remontant aux pères fondateurs de la ville. Seule héritière d'une fortune cossue -old money qui fructifie dans l'immobilier- et d'une immense townhouse coloniale dans la vieille ville, elle s'y prélasse quatre jours par semaine, passant les trois jours restants à l'université de Brown. Doctorante en linguistique, Poppy fait des recherches sur les conséquences cognitives des métaphores. Elle promène un carnet partout où elle va et prend des notes minutieuses de tes choix sémantiques tandis que tu lui décris tes derniers déboires sentimentaux avec un fuckboy local. Érudite oisive, de loin, elle a l'air inoffensive. Pourtant, elle a le mépris facile, snobisme bcbg, le sass qui déborde des regards lassés, un cynisme acéré qui clashe atrocement avec sa silhouette fluette et sa nature contemplative. Donneuse de leçons légèrement pimbêche, on lui reproche souvent d'être judgemental. Son crochet du droit verbal est létal. Trop respectueuse des mots pour les malmener, elle est physiquement allergique au mensonge. De ceux dont on dit que la plus grande qualité est l'honnêteté et le pire défaut... l'honnêteté. Cela ne l'empêche pas d'être une tornade de tendresse, loyale et généreuse envers ceux qui lui sont proches. Elle est l'immuable roc sur qui tous se reposent, et ce depuis le décès de sa grande sœur, il y a seize ans. Agatha Bloom a succombé d'une atrophie cardiaque à l'âge de treize ans et Poppy, seulement âgée de huit à l'époque, a été la béquille qui a maintenu ses parents debout, trop occupée à gérer le bon déroulement du deuil des autres pour prendre le temps de faire le sien.
Lorsqu'elle n'est ni cloîtrée dans son appartement universitaire de Providence (à deux heures de trajet de Bloominburg), ni enroulée sur le canapé en compagnie de sa meilleure amie, certaines espèces de wild poppies peuvent être aperçues en pleine concentration à la bibliothèque, trinquant dans n'importe quel bar où le vin blanc est bon, ou œuvrant dans la grande serre qu'elle a aménagée dans le jardin de la demeure familiale.

[to be a metaphor for starlight]
Preppy as fuck, sa collection de minijupes en tweed n'a d'égal que sa série d'amourettes ennuyeuses avec les héritiers waspy de Brown. En ce moment, c'est un insipide champion d'aviron avec qui elle doit se résoudre à rompre dès qu'elle aura le courage de monter à Providence. ◌ Versée en espagnol, latin et Early Modern English, le zèle avec lequel elle t'insulte est parfois archéologique, cumberworld. ◌ Que la tombe de sa sœur soit la plus fleurie du cimetière est devenu son combat personnel, et les plantes qu'elle y dépose sont tou-jours cultivées maison. ◌ Poppy a passé les cinq dernières années à plein temps à Brown mais, terriblement attachée à Bloominburg, elle y revenait un week-end sur deux. Depuis qu'elle est entrée en doc, elle y est beaucoup plus souvent, accomplissant la majeure partie de ses recherches à domicile. ◌ Elle joue au piano avec brio mais sans réel intérêt. Il a bien fallu qu'elle s'y mette suite au décès de sa sœur, afin que le Steinway à queue ne tombe pas en désuétude - et, surtout, pour que ses parents puissent prétendre qu'Agatha était toujours là. ◌ Elle croit dur comme fer qu'elle est une Miranda alors qu'à l'évidence, c'est une Carrie. ◌ Se nourrit quasi exclusivement de thé, de fruits des bois, de morphèmes et de vin blanc.